Plus s’éparpille la voix qui siège à l'ultime
Plus le tissu se déchire, voiles gonflées de béance
J’atteins ce que j’ignore dans la fuite
De ce qui échappe
ce pays qui ne vit que d’absence
Et au-delà de ce qui se retire
Je m’adosse au pied de l’être
Dans l’abandon de ce qui...
Seulement dans le chœur des mots.